TOULOUSE
Dans cette pièce chorégraphique, il rend hommage aux jeunes victimes des armes à feu des quartiers pauvres et discriminés de New York, Rio ou Johannesburg qui décèdent avant l’âge de 21 ans.
Dans une atmosphère urbaine teintée de chamanisme, les trois danseurs, aux corps devenus sculptures graphiques, surfaces d’expression et de revendication, objets de résilience et mémorial, convoquent l’invisible et nomment l’indicible.