TOULOUSE
Astrid Bayiha compose un récit choral et intemporel où s’entremêlent avec fluidité les mots de Jean Anouilh, d’Euripide, de Jean-René Lemoine, de Dea Loher, d’Heiner Müller, de Sénèque et de Sara Stridsberg.
Loin des clichés de la légende, M comme Médée dessine avec pudeur et une justesse saisissante le portrait contemporain d’une femme amoureuse puis trahie, abandonnée, exilée, anéantie et bafouée.