TOULOUSE
Il est clair que les neuf membres du jeune collectif La Cabale ont un goût prononcé (et assumé) pour la comédie façon Monty Python en ne s’interdisant rien, surtout pas d’en faire trop, de se vautrer dans l’absurde, de cultiver l’idiotie et de télescoper les références.
L’ambiance est à la détente, à la musique entraînante et à la danse des canards, au divertissement grossier et à l’humour gras… Mais, l’air de rien, ça questionne aussi la place de la légèreté dans un monde en crise.